dimanche 7 septembre 2008

émotions nocturnes

« hey ! toi, la nouvelle ! ouai, Melody, c’est sa !chsui sure que t’es qu’une grosse trouillarde. ouaip, ya qu’a voir ta sale tête de petite fille modèle pour comprendre ! »

Je bouillais intérieurement. Marre de me faire traiter comme sa par tout le monde. Partout ou j’allais, il n’était question que de moquerie, de ma tête, de mes cheveux très frisés, de mes notes…j’en avais assez ! oui, j’avais de bon résultats, Mais la matière ou j’excellais le plus était le sport. Je battais tout les records, et cela en faisais enragé plus d’un, comme cette fille qui se prenais pour une championne.

« a oui ? sa, c’est se que tu croit ! »

« ok, ben alors prouve le ! »

La plus grande des fille de la bande s’avança vers moi. de toute évidence, c’était elle la chef.

« alors la nouvelle…tu voit le cimetière la bas ? jveut que tu y aille cette nuit, et que tu me ramène le collier que porte la fille qui se trouve sur la tombe centrale. Pigé ? demain matin je le veut dans ma main . »

Elle approcha son visage du mien et découvrit ses dents d’une façons qui me fit étrangement pensé a un loup. Je lui répondit par un regard noir, celui qui m’avais demander tant d’entrainement devant ma glace. mais Bien vite, ce fut moi qui détourna les yeux. Satisfaite, elle parti suivi de sa clique.
Je rentrais donc chez moi, pensant a ce que j’allais faire ce soir. Pour moi, il était hors de question que je rate cette occasion de me faire respecter. Ma soirée se passa pour le mieux, et je ne pensais même plus a ce qui allais se passer cette nuit lors ce que tout le monde serais coucher chez moi. ce n’est que quand je me mit au lit que je me suis souvenue de ma « mission ». j’attendis donc que tout bruits disparaissent de la maison, puis je m’habillais rapidement. J’attrapais un lampe et descendit sur la pointe des pieds jusqu'à la porte. Une foie dehors, je me mit a courir jusqu’au cimetière, a quelques rue d’ici. Arrivée la bas, il ne me fallu que quelques essais pour parvenir a grimper en haut du mur, puis de là Je repérais facilement de la haut la silhouette fine et élancée de la statue. M’aidant juste de la lumière de la lune, je sautais du mur et couru ventre a terre jusqu'à la fille. Arrivée a elle, je me rendit compte qu’il n’y avais non pas une mais deux statues : la fille, et un chat, qu’elle tenais au bout d’une laisse. la lumière de la lampe éclairât brièvement sa gueule, qui se trouvait être remplie de crocs qui me firent réellement pensé a un lion. Je posais ma lampe sur la tombe et grimpais dessus. La lumière éclairait l’inscription gravée : « êtes vous sure de ce que vous faites ? » pas très rassurée, je me hâtais de prendre le collier. Il se décrocha facilement, et je me retrouvais donc avec un bout de cuir sertit d'une pierre brillante entre les mains. de l'ambre, je croit. Un peut moins stressé, je repris ma lampe et détourna les yeux du lieu du crime. Un peut essoufflé par ma longue course, je repris ma route a une rythme toutefois moins soutenue. Mais bientôt, un bruissement se fit entendre. Apeuré, je me retourna et vit une chose que des yeux humain n’ont jamais vu auparavant : la statue du chat s’anima et tourna ses yeux vert émeraude vers moi. je cru tout d’abord a une hallucination mais lors ce que le chat descendit de son piédestal, je compris qu’il n’y avais pas de temps a perdre. Je me mit a courir, de toute la force de mes jambe, serrant le collier dans ma main, que pour rien au monde je
n'aurais laché. peut être que ma vitesse allais me sauvée la vie...Les bruits se rapprochaient peut a peut, et devenais de plus en plus fort. Je bondi sur le mur, sauta au sol avant de continuer ma course folle. Je parvint chez moi, terrifié, et me jetât sous les couvertures. Peut a peut, je réussi a me détendre et fini par m’endormir. Ce n’est qu’au milieu de la nuit qu’un vent frai me réveilla. Je m’assit sur mon lit, regardait en direction de la fenêtre et vit les rideau battant au vent. Mais ce n’est pas ce qui m’effraya le plus, non. Ce que je vit me paralysa littéralement : une forme féline, perchée sur le rebord de la fenêtre, qui me regardais de ses yeux verts…


Le lendemain, on ne retrouva aucune trace de Melody, et personne ne remarqua que la fille debout au milieu du cimetière avais changée…oui, elle avait à présent de long cheveux bouclé et un regard suppliant, comme si quelques chose l’avais pétrifié de terreur…

mercredi 13 août 2008

quant la musique devient un instrument de meurtre...


Si seulement…oui, si seulement la musique n’existait pas…si tu n’existais pas… je ne serais pas ce que je suis devenue…


« viens, viens, a moi, je t’attend, dans cette ruelle sombre, je serais là et je t’attendrais, tu verras…rejoins moi »


Sa, c’était moi. oui, je chantonnais souvent. J’écoute cette chanson en boucle, peut être parce-que c’est mon petit copain qui me l’a composée… j’avais toujours de la musique sur les oreilles…Sans doute pour me couper du monde extérieur. Le seul problème, c’est que du coup, je ne pensais plus a rien, perdue dans le rythme de la musique…ma chanson était finie, les bruits quotidiens m’on fait revenir a la réalité, et m’on permis de constater deux choses : je m’était tromper de chemin, et deuxièmement, je m’était perdu.


« a ben sa…c’est malin…b***** de m**** comment je vais faire ? »


Un coup de vent m’a fait frissonner. J’était dans une impasse, ou plutôt dans une ruelle.


« tient, comme dans la chanson ! me dis-je en souriant »



il faisais presque nuit, et les hauts immeubles autours de moi n’arrangeais pas ma visibilité. J’avais froid. Il aurai fallu que je rebrousse chemin, mais une force irrésistible m’entrainais vers le fond sombre de l’impasse. Pourquoi me laissais-je toujours faire ? maintenant, regarder moi…ou plutôt non, essayer de me regarder, si vous y parvenez…je me laissais flotter, sans faire aucun effort, flottant vers le lieu qui m’attirait tant…ce n’était qu’arrivée a cette endroit que mon cerveau avais repris ses fonctions.


« coure ! tu n’a rien a faire ici ! »


« viens, viens, a moi, je t’attend, dans cette ruelle sombre, je serais là et je t’attendrais, tu verras…rejoins moi…alors, tu a vu ? je suis là… »


Ebahie, j’avais tourné la tête vers un recoin sombre, l'endroit d'ou la voie avait jaillie. J’avais alors vu, effrayée, sortir une forme noire. pétrifiée, je l’avais regardé s’extirpée des cartons entassés. Arriver a ma hauteur, j’avais compris : c’était tom.

« tom chéri ! tu m’a fait une de ces peur ! »


« ne t’inquiète pas, tu n’aura bientôt plus peur. Je voit que tu a bien suivi mes instructions…et toi, tu a constater que je ne t’ai pas menti : je suis bien là, je t'ai attendu, tout les soir...je pense que j'ai maintenant mériter ma récompense... »


un sourire carnassier se déssina sur son visage. comment ais-je pu pensé qu'il blagait ?


« comment ? je ne comprend pas ? »
Comme j’ai pu être naïve…pourquoi as-tu fait ça ? a vrai dire, je l’ai compris, mais un peut tard sans doute…

« ho, mais tu n’a pas besoin de comprendre. »


Sa voie s’était faite douce, mielleuse, un peut comme sur la chanson qu’il m’avait composée. Subjugué, je m’étais laissé faire. Quand je repense a la scène, a partir de ce moment, il y a un gros trou noir, je ne pourrait pas vous dire ce qui s’est passer…mais a présent, je flotte, perdu dans un brouillard noir, deux petits trous au cou, dans un endroit qui ressemble a une impasse, l’impasse ou tout s’est finie, là ou je suis condamner a errer jusqu'à la fin de ma transformation …tout ce que je peut vous assurer, c’est qu’un dangereux tueur se promène dans votre monde, vous, vivants, que l’hypnotisme existe bien réellement, que les vampires sont parmi vous, et que j’en ferais très bientôt partie…ceci est un avertissement, mettez vous a l’abri avant que le peu de gentillesse qu’il me reste s’envole…

commençons par le comencement...


bienvenu a tous, a toutes, vous qui venez visiter... mais faisons tout d'abord les présentations :



je m'appelle Nina, comme vous avez pu le deviner. vous avez sans doute remarquer, je ne suis pas très bonne en orthographe...embêtant pour un blog qui sera exclusivement du texte...mais passons. mon âge ? a vrai dire, ce n'a pas d'importance...pourquoi ai-je créé ce blog ? pour mettre mes petites histoires, mes rêves, ma vie plus simplement...pour vous distraire, vous amusez...toutes les critiques, bonnes et bien sure mauvaises, sont constructives: j'en prendrais donc compte pour mes billets suivants. vous découvrirez ma vie au fils des histoires de ce blog, ce n'est donc pas la peine de vous faire un résumer maintenant. a oui: toutes les photos de ce blog sont de moi





a présent, je pense que je n'est plus qu'a vous souhaiter bonne visite et bonne lecture !
ps: si vous aimez le fantastique, ce blog est fait pour vous !